Sous le hangar qui a été reconstruit pour protéger le site des intempéries, étaient probablement placés des silos qui servaient à collecter et classer les minéraux extraits des mines de Saint-Jean et Balme, arrivant de la galerie de descente de Frissonière par un téléphérique. Cet environnement des fonderies est décrit en 1909 comme suit :
« Les minéraux, provenant de la descente de Frissonia, arrivent par le téléphore au niveau supérieur d’une série de silos en bois qui servent, outre pour les minéraux eux-mêmes convenablement classés et échantillonnés, aussi pour le charbon, le fondant et les scories à refondre. »
Extrait de la Revue du Service Minier en 1909, Publication du Corps Royal des Mines, Typographie nationale G. Bertero & C., Rome, 1910.